Explosifs façon feu d’artifice, autant sur scène que dans l’approche artistique, les 2 Suisses s’étaient donné maxi 3 ans d’espérance de vie ; le temps de pousser une bonne gueulante et faire leur chant du cygne. Crème solaire aura finalement survécu à ses sautes d’humeur electro-punk pour nous délivrer un 3ème album, Cemento, petite bombe fusant dans tous les sens – et toutes les langues –, à travers salves de guitares, imagerie digitale Y2K (le clip de “Chien.ne”) et percus synthétiques (“Calicanti”). Alerte à l’éruption solaire aux Eurocks.